Un samedi noir à Ogossagou : Au Mali, l’humanité se déshumanise (Par Djibril Diaw)
Plus de 160 morts, le bilan est macabre. Le bilan est trop lourd pour que je trouve le sommeil. Écrire mais oui puisque je n'ai que des mots après mes larmes. Écrire pour me soulager mais écrire pour que disparaisse cette énorme boule à ma…