Issa Harouna Mangane : « J’ai peur de voir deux Sadel, l’un électrifié et l’autre…
Je pense que les quatre années passées à Sadel, doublées de l'amour que je ressens pour le village me confèrent la légitimité de me prononcer sur les "affaires de la cité". Sadel à l'instar de tous les grands villages du Fouta dépendait …