Miracles Scientifiques du Coran – Jour 24 : De la pluie en quantité déterminée

Une autre information que nous fournit le Coran à propos de la pluie, est le fait qu’elle est envoyée sur Terre « avec mesure ». Ceci est mentionné dans la sourate az-Zukhruf ainsi :

Celui qui a fait descendre l’eau du ciel avec mesure et avec laquelle Nous ranimons une cité morte [aride]. Ainsi vous serez ressuscités. (Coran, 43 : 11).orage_pluie_trt

Cette quantité de pluie définie a été mesurée par la recherche moderne. On estime qu’en moins d’une seconde, environ 16 millions de tonnes d’eau s’évaporent de la Terre, soit 505 trillions de tonnes (505.000 km3) d’eau par an. C’est aussi la quantité de pluie qui tombe sur la Terre chaque année (http://en.wikipedia.org/wiki/Water_cycle). Ainsi, l’eau circule continuellement selon un cycle équilibré, une « mesure ». La vie sur Terre dépend de ce cycle de l’eau. Même si toute la technologie disponible dans le monde devait être employée dans cet objectif, ce cycle ne pourrait être reproduit artificiellement.

Même une légère déviation de cet équilibre entraînerait vite un déséquilibre écologique qui provoquerait la fin de toute vie sur Terre. Mais ça n’arrive jamais, et la pluie continue à tomber chaque année en déversant exactement le même volume, tout comme révélé dans le Coran.

La proportion de pluie ne s’applique pas seulement à sa quantité, mais aussi à la vitesse à laquelle tombent les gouttes d’eau. La vitesse de ces gouttes de pluie, et ce peu importe leur taille, n’excède pas une certaine limite.

Philip Lenard, un physicien allemand qui reçut le Prix Nobel de physique en 1905, découvrit que la vitesse de chute des gouttes d’eau augmente avec leur diamètre et ce jusqu’à 4,5 mm. Pour les gouttes de plus grande taille, cependant, la vitesse de chute ne dépasse pas 8 m par seconde. Il attribua cela au changement de forme de la goutte généré par le flux d’air au fur et à mesure que la taille de la goutte s’accroît. Le changement de forme augmente la résistance à l’air de la goutte et ralentit sa vitesse de chute.

Comme on peut le voir, le Coran veut peut-être attirer notre attention sur le subtil ajustement dans la pluie qui n’aurait pu être connu à l’époque de sa révélation.

Khadime Mbacké Diop – laviesenegalaise.com

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