Barka Cissé leader politique : « aucun jeune de Matam n’a bénéficié de la signature du Président Macky Sall »

Dans un entretien accordé à votre portail laviesenegalaise.com, Barka Cissé, responsable politique à Matam, jeune leader n’a pas mâché ses mots pour être la voix  de ses concitoyens. Selon Monsieur Cissé, membre de l’APR, depuis l’avènement de Macky Sall au pouvoir, « aucun jeune de Matam n’a bénéficié de la signature du Président ». C’est donc dire qu’il n’y a pas de promotion de la jeunesse. Celle-ci est laissée à elle-même. 

Répondant à une de nos questions, le responsable politique Apériste de Matam, Barka Cissé se dit quand même satisfait du bilan à mis parcours du chef de l’Etat, Macky Sall même s’il admet qu’il s’agit d’un exercice assez difficile de dresser un bilan sur un mandat en cours.

Un véritable survol de l’actualité nationale a permis à ce jeune leader de défendre l’année dernière, le samedi 31 décembre 2016 au quartier Ouest Foire, devant les caméras de votre portail en ligne  laviesenegalaise.com, le bilan de Macky Sall (quatre ans au pouvoir).

Autant de questions que Barka Cissé nous a répondus avec lucidité dans un langage soutenu et rigoureusement argumenté.

La politique, la santé, l’éducation et la formation, la culture, l’emploi des jeunes… etc. Bref, Barka Cissé ne laisse rien. Sans oublier bien sur la politique locale, notamment la gestion des collectivités. Ici, s’adressant aux maires de Matam, Barka Cissé soutient que « si la population à eu confiance à un maire pour lui confier une localité, que ce dernier n’ait pas le complexe de trouver des compétences pour l’entourer s’il a conscience de sa carence… ».

Barka Cissé parle également des perspectives en 2017 de son Mouvement #BC_2019 (Barka Cissé horizon 2019), non sans prédire un vote sanction à Matam lors des prochaines élections législatives.

En fin, Monsieur Cissé appelle les matamois à persévérer dans le travail, de laisser cette histoire que le président Macky Sall est un fils de Matam, mais commencer à travailler sérieusement pour que sa réélection soit une réalité.

« Que cela ne soit pas simplement des chimères reposées sur une histoire de philosophie ou de sociologie culturelle en disant que c’est notre fils, il va gagner. On ne gagne pas, on combat avec les mains vides, on combat avec des stratégies, (…) on gagne en faisant comprendre aux populations que le combat leurs appartient », a-t-il conclut.

Suivez l’intégralité de l’entretien 

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